Vous êtes victime — ou vous connaissez une personne victime — de violences conjugales ? Face à ce calvaire, les associations d’aide aux victimes recommandent de quitter le domicile. Mais comment partir ? Où aller ? Avec quels moyens ? Et surtout, en toute sécurité ? Quand on est isolé.e, ces questions paraissent insurmontables. Heureusement, AXA France vous tend la main. L’assureur a fait évoluer tous ses contrats d’assurance habitation en y intégrant un accompagnement juridique et psychologique spécifique aux situations de violences conjugales, ainsi qu’un relogement d’urgence, si nécessaire.
Concrètement, dès que vous êtes prêt.e à partir, un seul réflexe : appeler le 01 70 84 25 84. Ce numéro d’urgence vous met en relation avec un juriste spécialisé, à l’écoute de votre situation et prêt à vous guider. Si votre sécurité — ou celle de vos enfants — est en jeu, une solution de mise à l’abri est activée : hôtel, appart’hôtel ou lieu de confiance, selon des critères stricts (anonymat, sécurité, proximité, composition familiale…). Une fois en sécurité, vous serez orienté.e vers des associations spécialisées, pour poursuivre l’accompagnement et faire valoir vos droits.
Décryptage
Publiée pour la douzième année consécutive, l’enquête Fractures françaises montre que la société est fracturée. Lutter pour plus de justice sociale n’est pas l’affaire des seuls pouvoirs publics. Chacun peut — chacun doit — agir. Y compris les enseignes et les marques. A elles de s’engager !
En France, les violences conjugales ne cessent de progresser. Selon le Ministère de l’Intérieur, le nombre de victimes enregistrées en commissariat ou gendarmerie a plus que doublé entre 2016 et 2024, passant de 125 000 à près de 280 000 cas déclarés. Mais derrière ces chiffres officiels se cache une réalité bien plus importante : près d’un million de victimes chaque année, selon les estimations de la Fondation des Femmes. Une immense majorité d’entre elles ne dépose jamais plainte.
Le paradoxe est tragique : le foyer, censé être un lieu sûr, est souvent le plus dangereux. 79 % des féminicides sont commis à domicile. 77 % des appels au 3919, le numéro d’écoute national, mentionnent le besoin urgent d’un hébergement. Et pourtant selon la fondation, 40 % des victimes restent sans solution de relogement, faute de moyens ou d’alternatives disponibles.
Face à cette urgence sociale, AXA France prend position et agit. En avril 2025, l’assureur a intégré deux garanties inédites à tous ses contrats d’assurance habitation : un accompagnement juridique, psychologique et financier, via Juridica, sa filiale de protection juridique. Ainsi qu’un relogement d’urgence dans un lieu sécuriségrâce à AXA Partners, accessible 24h/24.
L’initiative n’est pas un coup de communication. Elle s’inscrit dans une politique d’engagement ancienne, amorcée dès 2015 avec le programme Elle’s Angels, lancé par Juridica. Depuis dix ans, plus de 2 000 femmes ont été accompagnées par des collaboratrices bénévoles d’AXA, avec 1,4 million d’euros de frais de justice pris en charge.
Et l’entreprise l’assume : elle espère que d’autres suivront. « Si d’autres assureurs décident de s’engager, on en sera ravis — et même très fiers. » confie Alice Holzman, directrice client d’AXA France. Le potentiel est immense : AXA couvre aujourd’hui 2,5 millions de foyers, sur un total de 30 millions en France. Autant dire que la bataille ne fait que commencer.